Back in Black

Nouveau vélo.
Nouveau départ.
Nouveau chapitre.
Nouveau blog.
Nouvel article.

Première chose, on va mettre l’ego de côté (enfin, tenter de) et se concentrer sur ce qui se passe devant soi. Ce qui est derrière y reste, les hauts, les bas, les zones d’ombre.

Dans une interview de James Hetfield, le chanteur de Metallica, j’ai lu la citation suivante :

There is a reason why the windshield is bigger than the rearview mirror.

(Il y a une raison pour laquelle le pare-brise est plus grand que le rétroviseur)

Ce qui se passe devant est plus important que ce qui est derrière.

Je l’ai dit, l’ego a vocation à rester sur le bord de la route. Je ne vais pas faire du vélo pour me coller l’étiquette de cycliste sur le front ou pour prouver quoi que ce soit. Je vais faire du vélo juste parce que j’en ai envie, et il me semble que c’est une raison bien suffisante.

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Cette introduction étant terminée, venons-en au sujet de la présente bafouille.

Oui, maintenant que j’ai un nouveau vélo, autant rouler avec, pas vrai ? Alors direction

🇫🇷 PARIS 🇫🇷

Un peu de raccourcis quand même, départ non pas de la maison mais de Tilburg, un peu plus près de la Belgique. Pas envie de me taper les traversées de Rotterdam (déjà fait 2 fois) et de Dordrecht (déjà fait 3 fois). Ça écourtera la traversée des Pays-Bas, et me permettra de passer par des endroits plus sympas que le chemin le plus court.

Première nuit prévue à Leuven, chez mon ami et acolyte de rando Romain.

Prochain article plus tard.

Back in black
I hit the sack
I’ve been too long, I’m glad to be back

Yes, I’m let loose
From the noose
That’s kept me hanging about

I’ve been looking at the sky
‘Cause it’s gettin’ me high
Forget the hearse ’cause I never die

I got nine lives
Cat’s eyes
Abusin’ every one of them and running wild

‘Cause I’m back
Yes, I’m back
Well, I’m back
Yes, I’m back
Well, I’m back, back
Well, I’m back in black
Yes, I’m back in black